Grand Prix de Rome en 1924, cette peinture est la représentation allégorique des âges de la vie d'une femme. C'est la lumière, vivante, furtive puis mourante qui donne sa dimension à la toile. L'artiste évoque la vie à la fois humaine et végétale qui va décroissant au fur et à mesure que l'on s'approche du seuil de l'existence. La lumière suit une courbe marquée par le visage de chacune des femmes.
Le tableau se compose de quatre parties :
1) Paysage clair et lumineux, c'est l'aube, le soleil se lève. Les angelots sont des enfants qui tiennent des oiseaux dans leur main, probablement des colombes blanches, symbole chrétien, la résurrection du Christ. La végétation est luxuriante, au premier plan l'arbre est en fleurs, des roses blanches, symbole païen qui souligne la fragilité de la vie.
La première femme est vêtue de blanc et de vert, elle est parée d'une guirlande de fleurs blanches et roses.
2) Sur un pan de mur, assise dans le centre, il y a une deuxième femme, vêtue d'ocre et de vert, aux couleurs de l'été à son apogée. Elle tient une serpe (petite faux à la main, et ses pieds reposent sur une gerbe de blés coupés (la moisson). Un de ses seins est dévêtu, très probablement pour souligner le caractère prolifique de la saison à laquelle elle est associée.
3) Une autre femme se tient contre un arbre mort, elle est vêtue de blanc et de pourpre aux couleurs de l'automne, son visage est dans une demi-obscurité et la lumière décline. Les feuilles qui tombent sont le symbole même de la saison qu'elles représentent : l'automne.
4) Enfin, une femme est assise dans l'ombre, ce n'est plus qu'une silhouette. La végétation est noyée dans l'ombre, la seule lumière qui éclaire cette partie est celle du soleil couchant, celle du soleil froid de l'hiver.
Ce qu'il y a de particulier dans le tableau, c'est que notre regard peut voyager de l'ombre à la lumière, dans une ronde sans fin comme le cycle des saisons, le cycle de la vie.
Cependant, la peinture représente une image figée et bien qu'elle puisse communiquer au spectateur les sentiments de l'artiste, elle ne peut comme le cinéma rendre cette idée de vie et de mouvement qui n'appartient qu'à lui.
Le tableau se compose de quatre parties :
1) Paysage clair et lumineux, c'est l'aube, le soleil se lève. Les angelots sont des enfants qui tiennent des oiseaux dans leur main, probablement des colombes blanches, symbole chrétien, la résurrection du Christ. La végétation est luxuriante, au premier plan l'arbre est en fleurs, des roses blanches, symbole païen qui souligne la fragilité de la vie.
La première femme est vêtue de blanc et de vert, elle est parée d'une guirlande de fleurs blanches et roses.
2) Sur un pan de mur, assise dans le centre, il y a une deuxième femme, vêtue d'ocre et de vert, aux couleurs de l'été à son apogée. Elle tient une serpe (petite faux à la main, et ses pieds reposent sur une gerbe de blés coupés (la moisson). Un de ses seins est dévêtu, très probablement pour souligner le caractère prolifique de la saison à laquelle elle est associée.
3) Une autre femme se tient contre un arbre mort, elle est vêtue de blanc et de pourpre aux couleurs de l'automne, son visage est dans une demi-obscurité et la lumière décline. Les feuilles qui tombent sont le symbole même de la saison qu'elles représentent : l'automne.
4) Enfin, une femme est assise dans l'ombre, ce n'est plus qu'une silhouette. La végétation est noyée dans l'ombre, la seule lumière qui éclaire cette partie est celle du soleil couchant, celle du soleil froid de l'hiver.
Ce qu'il y a de particulier dans le tableau, c'est que notre regard peut voyager de l'ombre à la lumière, dans une ronde sans fin comme le cycle des saisons, le cycle de la vie.
Cependant, la peinture représente une image figée et bien qu'elle puisse communiquer au spectateur les sentiments de l'artiste, elle ne peut comme le cinéma rendre cette idée de vie et de mouvement qui n'appartient qu'à lui.
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