Il est à noter que pratiquement toutes les représentations de la mort ne sont que des "morts passage". Car, si la vie nous mène à la mort, la mort nous ramène à la vie. Ainsi, dans cette image de "mort passage" au travers des générations, le processus de vie continue. Dès lors, la mort n'est plus une négation de la vie, mais l'étape d'un chemin par lequel elle se poursuit. ".... la mort fauche sans relâche. Mais malgré cela, oui comme s'il n'en était nullement ainsi, tout est toujours présent en son lieu et à sa place, comme si rien n'était périssable. En tout temps la plante verdit, l'insecte bourdonne, l'animal et l'homme subsistent dans leur indestructible jeunesse et nous retrouvons chaque été les cerises déjà mille fois dégustées". Cette phrase de Shopenhauer, philosophe allemand (1788-1860) illustre cette représentation.
La faux qui sert à faucher le blé était le symbole des récoltes et par delà celui des saisons qui rythment notre existence comme une ronde sans fin (cf analyse du tableau de Fossey).
Le crâne, s'il est le symbole du siège de la connaissance, de l'esprit devient un symbole chrétien très fort de la vie, si on lui associe l'histoire de la mort de Jésus sur le mont Golgotha
(qui signifie "crâne "en hébreu) mort de Jésus qui rachète le pêché du monde et qui conduit l'humanité au Salut Eternel.
Le papillon, de nombreuses cultures, dont la nôtre ont établi un parallèle entre cet insecte qui émerge dans toute sa splendeur de la chrysalide sombre et l'âme qui abandonne le corps après la mort. Certaines peintures représentent le Christ enfant tenant un papillon dans la main.
Toutes ces représentations, toutes ces images, malgré le côté de laideur qu'elles peuvent présenter, car elles reflètent la peur de la mort, portent en elles l'espoir qui nous permet d'avancer et de vivre.
Car ainsi, l'homme n'ayant aucune expérience concrète de la mort pour référence, sinon que ce moment correspond à la fin de la vie, pour lui donner un sens doit alors la définir, la dire, la nommer. Comment mieux le faire que par l'image, la métaphore, la représentation graphique ?
Ainsi, la mort, phénomène mystérieux et insondable, si abstrait devient image, image symbolique plus parlante à l'homme qui pense en fait à elle en se la représentant, en la visualisant, en l'exprimant.
De ce fait, la mort devient un thème de prédilection pour l'art, car il permet de donner libre cours à l'imagination de l'artiste et à l'interprétation du spectateur.
Le crâne, s'il est le symbole du siège de la connaissance, de l'esprit devient un symbole chrétien très fort de la vie, si on lui associe l'histoire de la mort de Jésus sur le mont Golgotha
(qui signifie "crâne "en hébreu) mort de Jésus qui rachète le pêché du monde et qui conduit l'humanité au Salut Eternel.
Le papillon, de nombreuses cultures, dont la nôtre ont établi un parallèle entre cet insecte qui émerge dans toute sa splendeur de la chrysalide sombre et l'âme qui abandonne le corps après la mort. Certaines peintures représentent le Christ enfant tenant un papillon dans la main.
Toutes ces représentations, toutes ces images, malgré le côté de laideur qu'elles peuvent présenter, car elles reflètent la peur de la mort, portent en elles l'espoir qui nous permet d'avancer et de vivre.
Car ainsi, l'homme n'ayant aucune expérience concrète de la mort pour référence, sinon que ce moment correspond à la fin de la vie, pour lui donner un sens doit alors la définir, la dire, la nommer. Comment mieux le faire que par l'image, la métaphore, la représentation graphique ?
Ainsi, la mort, phénomène mystérieux et insondable, si abstrait devient image, image symbolique plus parlante à l'homme qui pense en fait à elle en se la représentant, en la visualisant, en l'exprimant.
De ce fait, la mort devient un thème de prédilection pour l'art, car il permet de donner libre cours à l'imagination de l'artiste et à l'interprétation du spectateur.
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